Je post ici un court texte que j'ai trouvé en fouillant dans mon ordinateur. j'ai corrigé les fautes d'orthograph et je vous l'envoie se soir. j'avais 12 ans quand j'ai écris ce texte, et je sais que la clientèle ici est purement féminine, vous n'aimerez peut-être pas, mais c'est à vous de voir
(oui j'avais vraiment douze ans quand j'ai écris ça)
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Tout était tranquille. C’était un belle après-midi de Juillet ou le soleil était bien voyant, haut dans le ciel. Marc et sa douce, Laurence, était sur l’autoroute. Ils étaient parti visité une nouvelle maison dans le but d’emménager. Après tant de mois, ils avaient finalement décidé de vivre ensemble! Cette demeure allait peut-être être la bonne. La belle voiture rouge roulait à une vitesse un peu trop élevé pour les limites de la ville. L’homme qui leurs avaient donné le rendez-vous avait dit 1:30, heure dépassé depuis trop de minutes déjà. Ils arrivèrent à une intersection sur un feu jaune. Pressé par la situation, Marc décida d’accélérer encore pour passer au plus vite. Ce qui fut la plus grosse erreur de sa vie, possiblement la dernière aussi...
Ne pensant qu’a la situation présente, il ne vit pas le camion qui s’approchait dangereusement par la droite. Résultat, le gros véhicule heurta la petite voiture de plein fouet, exactement sur le coté passager.
Il reprit conscience quelques heurs plus tard sur un lit blanc d’hôpital, ne comprenant aucunement pourquoi il était là. Soufrant de toutes les parties de son corps, il regarda a gauche et a droite dans le but de trouver son amoureuse, mais il ne la vit point. Malgré le mal de tête atroce qui lui martelait les tempes, il s’efforça à demander d’une voix grinçante :
Personne ne lui répondit… Mais Marc n’avait guère de forces pour rester éveillé, il reperdit donc le peux de conscience auquel il s’accrochait.
Quelques heures plus tard, il se réveilla dans une sorte de sérénité. Les quelques instants du réveil où nous ne nous sommes pas encore souvenu dans quel problèmes nous sommes, mais simplement le bonheur du moment présent, le bonheur de vivre .... La pièce obscure était plongé dans un froid glacial, il faisait nuit noir. Seuls quelques rayons d’une lune timide cachée par les nuages offrait une quelconque visibilité dans la pièce. Un homme vêtu de noir était accoté à la fenêtre, dos à Marc, il était immobile, fixant l’extérieur Quand il se mit à parler, Marc douta que c’était de cet homme que provenait la voix suave qui lui parlais tellement il restait immobile.
- Saisissant, n’est ce pas, la facilité de l’esprit humain à faire le deuil d’une personne qui était chère? Prenons-toi comme exemple. Tu à tué ta femme il y a moins de vingt-quatre heures à peine et tu à déjà l’esprit en paix.
Tout à coup, les souvenirs réprimés revinrent à l’assaut de l’esprit tourmenté de Marc. Des images défilaient dans le chaos de ça tête. Il s’effondra en sanglot. Ça femme, la voiture, le vendeur de maison … Il réussit à bredouiller :
- J…je… je n’ai pas …. Je n’ai pas tué…… Laurence!
L’homme tourna ça tête. Il était vieux et chauve, mais ces yeux étaient jeunes, et des flammes dansaient dans le fond de ceux-ci. Le diable en personne était en train de converser avec Marc. Le vieillard prit une mine attristé et dit :
- ha, ton deuil n’était pas fait? Je suis désolé de tourner le fer dans la plaie. Tu ne savais même pas qu’elle était morte!?! Et bien oui, elle est décédée d’une multitude de fractures un peu partout sur son corps suite à l’accident de voiture que TU à causé par ta stupidité! Ho, tu à l’aire triste, tu devais beaucoup l’aimer, n’est ce pas? La seule personne que tu n’as jamais aimée? C’est ca le problème avec vous, les humains, et c’est pourquoi il est si facile de vous tourmenter. Il est impossible de tourmenter quelqu’un qui n’a jamais gouté le bonheur!
Marc n’avait pas du tout la tête à la philosophie, aussi profonde soit t’elle. Alors au milieu de son éternel sanglot, il cria au démon :
- Repart en enfer! Laisse-moi tranquille! Part ou je te fais avaler ta petite queue fourchue!
Sur ces paroles, le diable éclata de rire. D’un rire méchant et mauvais. Après avoir fini de se rouler par terre, il essuya une petite larme au coin de l’œil, pris une fois de plus une mine attristé et dis :
- Est-ce que ca veux dire que tu ne veux pas entendre mon offre? C’était la seul manière de sauver Laurence, ta belle Laurence que tu à tant aimé. Mais si tu ne veux pas l’entendre, c’est compris, elle restera avec moi! Oui, elle était voué a l’enfer et tu veux savoir pourquoi? Ho oui tu veux, je sens ta curiosité d’ici.
En s’approchant, le vieillard sortit un petit miroir de sa poche et le lui tendit. L’objet avait un rebord métallique où avait été sculpté des dragons et des démons d’un incroyable réalisme. Marc regarda donc dans la glace et n’y vit que son simple reflet. Il se concentra mieux et tenta de discerner quelque chose de … surnaturel. Mais il ne vit que lui-même, un homme brisé et qui a souffert. Il dit donc à l’homme :
- mais il n’y a rien dans votre miroir!
Le diable, un sourire omniprésent lui répondit :
- Tu mens! Que voies-tu dans mon miroir?
Marc de répondre :
- Il n’y a que mon reflet…
- c’est exactement ça!
Et le diable éclata de rire à nouveau. Et Marc repartit en sanglots. Quelques instants plus tard, le diable repris la parole avec un sourire malicieux.
- Alors voici ma proposition, c’est tout simple tu va voir. Tu prends ca place auprès de moi et elle revient ici sur terre pour vivre une vie paisible, ou du moins, pour vivre. Une âme contre une autre, c’est équitable il me semble.
Le vieillard sortit un parchemin roulé d’une poche intérieur de son costume. Sur le papier était écris : Marc Perrault. Il le déroula et le donna à l’intéressé. En gros, il était écris que Marc renonçait à son entré au paradis et donnait ça vie pour l’offrir à la personne de son choix. Il prit la plume que le diable lui tendait et signa le papier.
Aussitôt que la plume quitta le papier, Marc retomba dans un puissant sommeil. Il fit un rêve horrible, il se faisait torturer en enfer pendant très longtemps. Il avait faim, soif, il était brulé et lacéré de partout. Il y avait des cris de douleurs provenant de partout et nulle part à la fois. Dans un rêve, nous pouvons manger une pomme, sans jamais pour autant la gouter. Un rêve n’est toujours qu’un aperçu à quoi pourrais ressembler un moment.
Quand il se réveilla, la première chose qu’il remarqua était la chaleur étouffante. Puis, il regarda tout autour de lui. Il était seul dans une pièce creusé à même le roc, ne comportant que deux portes. La pierre rouge sombre donnait une ambiance lugubre. Marc s’approcha de la porte à ca gauche pour l’examiné de plus près. Elle était très bien ouvragée, mais des dessins grossiers avaient été gravés dessus. Les gravures représentaient des personnes brulant dans de grandes flammes et une créature cornue qui riait de cela. La peur gagna Marc quand il pensa que s’il sortait de cette pièce, c’était par cette porte et que quelque chose d'absolument horrible l’attendait. Puis, aussi incroyable que cela puisse paraître, il s’efforça à ce contrôler car, il ne sert a rien de paniquer sur ce qu’on ne peut contrôler.
Il parti dans la direction opposé pour observer l’autre porte. Elle était exactement pareille à l’exception des dessins. Ceux-ci, Marc, en comprenait moins bien le sens. À gauche, la créature cornue, la même qu’à l’autre bout de la pièce, mais cette fois-ci, un bras levé vers le centre. Sous son bras tendu, plein de petites autres créatures qui semblent furieuses, armées de crocs. De l’autre coté, la même chose mais les cornes ont été changé pour une auréole, et les êtres sembles moins méchants, mais plutôt triste. Et finalement, au centre du dessin, une scène grandiose de guerre entre les deux armées.
Marc fut tiré de ces interrogations par une porte grinçante derrière lui. Pendant le bref moment que celle-ci fut ouvert, ce fut comme si un millier de cries tentèrent de s’échapper en même temps, par cette seul et unique ouverture. La seule chose que ces nombreuses voix avaient en commun, un déchirement de douleur les transperçait.
Le diable entra dans la pièce, tout sourire, en fredonnant :
Frapper, fouetter, R’gardez les trembler C’est l’corps qu’on meurtri, Mais c’qu’on vise c’est l’esprit!Frapper, fouetter, R’gardez les trembler Y’en a qui disent qu’ont est immoral,La moralité n’a pas de place dans ce monde anormal!Sur son épaule, une femme paniquée. Elle avait des cheveux noirs comme la cendre. Elle était nue et on pouvait voire que son dos avait été lacéré de partout. Il n’y avait pas un endroit où la peau n’avais pas été coupé, brulé ou arraché. Mais ca tête était intact. Le démon dit :
- La porte mène à votre monde de mortel. Pourquoi ces dessins? Chaque personne habitant votre monde n’est qu’en champ de bataille entre le bien et le mal. Ce qui choisit l’endroit où l’âme ira après la mort de l’un d’entre vous, c’est l’armé qui menait la guerre lors de la mort d’une personne. Votre monde n’est qu’on paris géant entre moi et (le diable cracha ce dernier mot avec dédain) « L’autre ». Mais bon, je viens de te donner le secret de la vie, et tu ne m’écoute même pas parce que tu voies ta Laurence! Quel manque de respect!
Il s’approcha de la porte du monde terrestre, l’ouvrit, et lança Laurence à l’intérieur. Puis, Il revint vers Marc et lui dit avec un grand sourire :
- Bon, ma part du marché est conclu, c’est ton tour de passer la porte, tu va voire, c’est un vrai enfer que tu va vivre!
Marc, silencieusement, se dirigea vers la porte des enfers. Il avait un visage… joyeux. Oui il souriait à plaine dents et il était heureux. Il ouvrit la porte et la franchit de plein gré, sans qu’aucune créature de l’enfer l’y ai contraint.
Il reçu en un temps record tout les pires tortures imaginables. Tout les démons était irrités pas son sourire et son aire serin. Les meilleurs bourreaux se mirent sur son cas, mais il leurs sourit dès leur arrivé auprès de lui. L’un d’eux fondit en larmes quand il vit cette marque de joie si explicite. Après tout, les démons aussi peuvent pleurer !
Après vingt-huit heures de tortures, le diable ressorti Marc de l’enfer pour lui parler. Il portait un fouet au coté. Le démon lui dit donc :
- Il y a déjà un bout de temps que tu nous à rejoint dans notre petit club privé et tu nous fais vivre un vrai enfer… Mais pourquoi diable sourie tu toujours ainsi?
Le pauvre homme sourit de plus belle à cette question et répondit :
- Parce qu’a chaque nouvelle torture que vous m’infligez, je sais que je l’évite à Laurence. Si je n’étais pas ici, elle y serait et donc, je lui évite bien des douleurs en prenant ca place ici.
Le diable, irrité de cette réponse perdit patience et s’écria :
- Dehors! Quitte mon royaume et retourne auprès de l’amour de ta vie!
Et Marc quitta la compagnie du diable pour retourner auprès de la belle Laurence. Mais nous savons tous que le diable inflige toujours les douleurs les plus sournoises et les plus profondes.
Mais, Après tout, l’amour n’est t’elle pas la plus grande des tortures?