La Princesse Servante

Chapitre 1

Elizabeth était assise devant sa coiffeuse, elle regardait son magnifique reflait, le reflait le plus connu du petit pays dont elle était la princesse. Ses long cheveux châtains fonçés au reflet roux ondulé au niveau de sa poitrine, elle avait de grands yeux d'un bleu incroyable certit de long cils, ses lèvres étaient pulpeuse et d'un superbe rose !
Elizabeth se brossait les cheveux, très lentement, ce soir il y avait un grand bal organisé en son seizième anniversaire. Elle devait se préparer mais sa domestique, Jane, n'était pas là. Mais que fait elle, se demandait la princesse, je vais être en retard ! Elle posa sa brosse et s'emparra d'un tube de rouge à lèvre et s'en mit, puis elle se poudra le nez et puis elle mit son fard à paupière. Jane n'arrivait toujours pas. Elle se leva et sortit de sa chambre.
- Jane ? criait-elle, Jane ?
Une jeune fille plutôt petite avec des cheveux bruns relevés en chignons courat vers elle, elle portait un longue robe au haut marron et à la jupe blanche.
- Princesse Elizabeth ! Oh ! Je suis vraiment désolée, je vous ai oubliée...
Puis elle entra en trombe dans la chambre et s'empara d'un grosse valise.
Elizabeth la suivit sans comprendre cette pression.
- Mais, Jane ? Que se passe-t-il ?
- Oh, Princesse ! C'est tellement horrible ce qui se passe ! Vous devez absolument quitter le château !
- Il y a un problème ? Lequel ?
La domestique ouvrit le grande armoire d'Elizabeth et prit plusieurs robes qu'elle rangea dans la valise.
- Princesse... il y a la guerre ! Et pour sauver votre peau, vous devez fuir !
Elizabeth s'assit sur le lit, cette nouvelle lui fit tourner la tête. Jane lui mit la valise sur les genoux, et l'aida à se lever.
- Et, et pour ma tenue ? se demanda la princesse.
- Oh ! J'avais oublié...
Elle sortit une autre robe de l'armoire et elle aida Elizabeth à s'en vêtir.
- Merci, Jane.
Les deux jeunes femmes descendirent les escalier et sortirent dehors où il se trouvait un peit carosse.
- Ce carosse te déposera dans une autre ville, puis tu continuera à pied. Il faudra que tu trouve une maison pour y dormir.
- Et toi ? Tu ne viens pas ? s'écria Elizabeth.
- Non, je ne peux pas... repondit la domestique.
Avant de entrer dans le carosse, la princesse ce jetta dans les bras de ça servante, pour lui dire au revoir.
- Tu vas tellement me manquer, Jane !
- Vous aussi, Princesse Elizabeth.
La jeune fille blonde quitta les bras de Jane et entra dans le carosse.
D'un dernier geste de la main, elle dit au revoir à sa domestique et à son château par la suite.
C'était une nouvelle vie qui commençait pour elle.

Elizabeth sortit du carosse.
- Où sommes-nous ? demanda-t-elle au cocher.
Le cocher marmonna quelque chose dans sa barbe et fit remarcher les chevaux qui détalèrent au galop.
Elle marchait... dans les rues, les parcs, les places... vers aucunes horizons, vers aucunes directions...
Et tomba la nuit. Elizabeth ne savait que faire. Elle n'avait aucun endroit pour dormir.
Soudain, elle entendu les claquement de sabot sur le pavé. Un carosse, se dit elle, peut être qu'il peut m'aider... Tournant la tête pour regarder le carosse, elle trébucha sur un caillou et se retrouva à quatre patte par terre. Les chevaux s'arrêtèrent, et une jeune femme passa la tête par dessu la fenêtre.
- Mademoiselle ? Vous allez bien ?
Elle ouvrit sa porte pour sortir.
- Euh... oui, oui...
La jeune femme s'approcha d'Elizabeth pour l'aider à se relever.
- Où allez-vous comme ça ? demanda-t-elle.
- Nulle part... je n'ai pas de maison, répondit la princesse.
- Oh ! Venez, chez moi il y a des chambres, vous pourriez y dormir !
- C'est bien trop gentil...
- Ce n'est rien, je vous en prie !
La jeune femme prit le bras d'Elizabeth et l'enmena dans sa calèche.
- Au faite ! Je m'appelle Victoria Roosbilt.
- Et moi... La princ... euh... Elizabeth Li... Liney
- Heureuse de faire votre connaissance !
- Oui, moi aussi...



Désolée pour les fautes ! Alors qu'en pensez-vous ?

Je n'ai qu'une chose à dire: je déteste les contes par dessus tout. Désolé, c'est plus fort que moi...

Le coup de la fille triste de sa vie confortable qui veut une vie à la dur me rappelle Diana Holland dans Rebelles...

Sympa ! Après l'avis que je me ferai dépendra de la suite.

Ok je vais modifier quelques trucs...

Et puis je pensé pas du tout à Di quand j'ai écris ça, mais bon...

EDIT : Voilà ! Quand pensez vous maintenant ??

Désolée pour le double post, mais je vous écris suite.

Chapitre 2

Elizabeth descendit de la calèche, suivit de Victoria.
- Nous y voici... dit cette dernière.
- Votre maison est magnifique ! s'exclama la jeune princesse, je n'en ai jamais vus de cette sorte, jusqu'ici !
Victoria pouffa et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle entra dans sa maison avec Elizabeth et referma la porte derrière elles.
- Je suis rentrée ! cria-t-elle.
Une jeune servant, vêtu d'une longue jupe plissé noire usé et d'un chemiser en satin vert fonçé, presque noire, arriva en marchant à tout vitesse pour débarasser sa maîtresse de son manteau. En remarquant Elizabeth, elle glissa à Victoria :
- Qu'y-est-ce ?
- Une jeune femme sans endroit pour loger, et comme nous sommes en manque de bonnes.
La jeune servante sans n'alla sans rien dire.
- Suivez moi, Elizabeth, je vais vous présenter, Mère.

Elles arrivèrent à une grande porte blanche, Victoria toqua et attendit une réponse :
- Oui ? cria une voix très stridente.
- C'est moi, Victoria, mère ! répondu la jeune fille, de sa voix douce et harmonieuse.
- Entre, entre...
Victoria tourna la poignet doré en ovale et entra dans la pièce. C'était un petit salon, il était meublé de vieux meubles, presque tous en bois. Une femme d'une cinquantaine d'année était assise sur un canapé au milieu de la chaise. Elle portait une longue robe verte en velour, et des chaussures vernies. La femme avait entre les mains un livre. Quand elle aperçut Elizabeth, elle la regarda d'un air étonné.
- Bonjour... (elle prit Victoria appart) Qu'y est-ce, Vicky ?
- C'est Elizabeth... Notre nouvelle servant, répondit elle d'un air fier.
- Où la-tu trouvé ? demanda sa mère.
- Errant seule dans les rues... répondit la jeune fille.
- Vicky ! Ne me dit pas qu'elle ne sait pas le sort que tu lui réserve...
- Euh... ben, non elle ne sait pas, répondit Victoria.
- Vicky...
La femme et sa fille se rapprochèrent d'Elizabeth.

[Je finirais demain]