Ne vois-tu pas que l'on s'aime?

C'est une idée qui m'est venu progressivement, elle s'est planté dans ma tête et elle ne veut plus partir. Peut-être que si je l'écris, ce sera bien . Je ne dis rien, découvrez! Peut-être que ce sera bref. Peut-être Pas. Je ferais peut-être 20 chapitres. Peut-être un seul. Donc n'esperer pas de suite, elle n'est pas écrite! Esperer seulement l'inspiration. Vos idées sont les bienvenues, Vos commentaires aussi. Je tenterai de rendre la chose réaliste mais n'ayant rien vécu de ce que j'écrirai (Du moins pour le début), Certaines chose peuvent varier par rapport à la réalité. Vous avez vécus quelques chose de semblables ou voulez préciser un phénomène, Alezz-y. Sur ce, bonne lecture :)

"- Gilbert, Je peux pas avoir d'enfants. Faut s'y faire!"
C'était la centième fois que Gilbert et Cécile avait cette même discussion, la centième fois que l'adoption semblait être la seule solution, la centième fois que Gilbert refusait d'admettre l'infertilité de sa femme. Mariés jeunes, Promis à un bel avenir avec un dizaine d'enfants, Gilbert et Cécile s'aimaient à la folie malgré tout. Pas très riche, mal vu, mais heureux. Gilbert allait céder d'un jour à l'autre. L'adoption étant le seul choix maintenant possible. Après 2 ans de mariage,il n'y avait eut aucunes grossesses malgré plein de bonne volonté:
"- S'y faire, s'y faire! J'le veux mon fils!
- Bin on va l'adopter ton fils, Notre fils."
C'était peut-être seulement la honte qui faisait que Gilbert refusait de voir la vérité en face. Ce n'était peut-être que ça, Mais c'était beaucoup. La honte ça pèse fort dans ces cas-là. La honte était peut-être plus forte que le désir d'un fils. Le soir dans son lit, quand tout était calme et que les pensée venait l'assaillir, Gilbert y pensait et y repensait. Adopter un enfant. L'enfant que quelqu'un d'autre avait fait. L'enfant que quelqu'un d'autre pouvait aimer. Un enfant peut-être fait dans le pêché. Un enfant peut-être malsain. Un enfant qui n'était pas sien. Il voulait se convaincre que ce serait bien. Il voulait se convaincre que l'enfant apprendrait tous de lui, même la pureté. Il voulait surtout se convaincre pour sa femme. Elle voulait tellement des enfants. Finir en enfer n'était pas quelque chose qu'elle voulait expérimenter. Le désir de tenir un petit bébé contre son coeur était surtout très présent. Gilbert se devait de la rendre heureuse. Il l'avait promis. Oui, je le veux. Un joli petit mariage. Sa famille, celle de sa femme, quelques amis. Rien de très gros, mais juste ce qui fallait pour les rendre heureux, lui et Cécile. Elle était tellement belle dans la robe blanche qui avait appartenue à sa mère. Elle était tout simplement belle. C'est cheveux long châtain-blond tombait sur ses épaules ce jour-là, Juste bien placé. Son regard d'habitude fuyant avait retrouvé la douceur et le bonheur de l'enfance. Son visage si parfait reflétait le bonheur. La vue de cette femme aurait rendue n'importe quelle homme heureux. Encore plus celui qui se tenait devant elle durant la cérémonie. Gilbert avait à peine écouter le prêtre. Il avait garder ses yeux fixés sur Cécile, la tête ailleurs, le coeur purement heureux. La plus belle journée de leur vie. Celle qui leur promettait tous. Même ce bébé qu'ils n'auraient probablement jamais. Mais, ils adopteraient. Gilbert prendrait à coeur l'éducation de cet enfant. Il ne laisserait pas le mal s'incruster dans son Albert. Non, jamais:


"Il s'appellera Albert mon fils."
Sur le moment, Cécile ne savait que répondre. Était-ce vraiment ce qu'elle espérait, était-ce un oui? Son Gilbert lui disait enfin oui. Elle l'appellerait Albert si c'est ce qu'il faudra. Elle l'appelait Alphonse, Joseph ou Bertrand, elle l'appellerait surtout mon Trésor. Devant le visage ébahi de sa femme, Gilbert fut attendrie. il n'avait jamais cru la rendre heureuse à ce point. Jamais il ne s'était douté de bonheur pur qui coulerait de ses veines à partir de ce moment, jamais il n'aurait pu l'imaginer. C'est lorsqu'il vit une larme briller au coin de l'oeil de sa femme qu'il douta. Et si jamais cet enfant faisait du mal à celle qu'il aimait. Et si jamais cet enfant blessait sa femme. Il pris sa femme dans se bras. Il se doutait bien que ce n'était que du bonheur. Il se doutait bien que c'était parfait comme moment. Lui, sa femme et la promesse d'un enfant, d'un Albert. Serrant sa femme dans se bras, cet homme si peu romantique entame un pas de danse. La danse qu'il avait appris à son mariage. La Danse qu'il n'oublierait jamais. La Danse qui lui rendrait toujours le sourire. La Danse qu'il aura danser cette si belle journée d'été.

Le couple vécut la semaine suivant normalement. Cécile n'osait pas en parler de peur de brusque Gilbert et lui était complètement perdu dans ses pensées et son projet secret. C'est le lundi suivant qu'il dit à sa femme de le suivre, il avait une surprise. Cécile osait bien y croire sans trop d'espoir. Elle entra dans le jeu comme une jeune fille. La jeune femme de 21 ans ferma ses yeux et parcouru les couloirs de son enfance. Sa mère, morte 2 ans avant son mariage, lui avait légué la maison. Ses 4 frères plus vieux avait chacun femme et enfants et ne voulaient pas changé de vie. Quant à ses deux soeurs, elles vivaient tranquillement dans leurs petites maison. Tous avait été d'accord avec la décision de feu leur mère. À son mariage, Cécile avait emménagé dans cette maison qui lui rappelait tellement de beaux souvenirs. Gilbert était tout heureux d'avoir un si beau chez soi. Un chez soi comportant 4 chambres, dont une où il menait Cécile présentement. Il était assez fière de lui. Gilbert ouvrit la porte et fit entrer une Cécile aveugle. Il la positionna face au nouveau meuble qu'il avait confectionné et lui demanda d'ouvrir les yeux. L'émerveillement et la joie qui passèrent dans les yeux de Cécile valurent plus que tous les merci possible. Cécile y avait tant rêver à ce petit lit au milieu de la pièce. Un petit lit qui accueillerait Albert. Elle crut reconnaître un lit qui traînait à la cave, mais si c'était lui, la transformation avait été radicale. Trop émue, Cécile ne savait pas comment réagir. Elle mesurait mainteant la chance qu'elle avait eu avec Gilbert, Elle mesurait aussi la chance qu'elle aurait avec Albert.


Cécile arriva toute joyeuse dans leurs petite chambre: Les murs beiges avaient le don de la reposé, Le plancher plus ou moins droit lui rappelait que rien n'était parfait et que Gilbert la faisait rêver. Contrairement à son habitude, elle prit longtemps avant de dormir, elle qui attendait impatiemment les rêves de son bébé.Gilbert la rejoignit environ une heure plus tard. Il ne s'attendait pas à retrouver sa bien aimée éveillée. Il posa déliquatement sa main sur la Hanche qui l'appelait. Elle ne resta pas là très longtemps, elle passa vite sur le ventre du Cécile, pour remonter vers le cou. Les doigts dessinèrent le visage si connu avec une délicatesse rare. Un à un les doigts tracèrent un front détendu et éfleurèrent les paupière fermé de la femme qui ne voulait plus dormir. Tandis qu'il passait sa main derrière sa tête dans se chevux, il commenca à embrasser avec douceur sa Cécile. Sa main déscendait lentenment dans le dos de sa femme, pour finalement arriver aux reins. Tandis que sa main se faisait plus pressante sur la peau chaude de Cécile, sa bouche descendit vers la poitrine nu qu'il connaissait tant.

Ça sort d'ou le côté religieux!?
C'est drôle, beaucoup de tes histoires commencent avec l'idée de la venue d'un enfant prochain..Tu connais mon opinion sur la chose.
Sinon, j'aime beaucoup ton écriture, comme toujours. J'ai bien hate de voir comment tu vas tourner ça!

OH MON DIEU!!! JE VIENS DE CATCHER LE GILBERT ET CÉCILE!! C'est de ça que tu parlais en science!!!???

Sinon..j'attend une suite!

Puis-je m'étouffer 2 secondes!?
Depuis quand tu ne veux pas écrire des scènes de sexe! J'ai le souvenir assez net d'une certaine histoire, ou plutot DE certaines histoires..Les citrons, tu te souviens? En tout cas, moi oui! Cette fois, c'était plus..gentil. Je ne sais pas pourquoi, ça me laisse un froid dans le dos. Promesse à moi-même..JAMAIS!! Bon, alors, après ces..mignons ébats, que ce passe-t-il?

Ps: Comme ça faisait longtemps que tu n'avais pas écrit, puis-je connaitre la raison d'une..scène de sexe, après si longtemps!? Un rêve que j'ai raté? Un certain..manque? Ou, encore et toujours, du fantasme!?

Sérieux, tu ne l'avais pas fait lire à Marilyn!? Bon sang, je ne suis pas remise..Le pire, c'était les commentaires..Au secours.
Je voudrais tellement savoir quelle est ta source d'inspiration!!